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Notre quartier : Côte-de-sable Histoire de la côte de sable

Notre quartier : Côte-de-sable
Histoire de la côte de sable

Dans les années 1860, lorsque le développement a commencé à se mettre en branle dans le quartier Côte-de-Sable, la région n’était qu’un endroit misérable ou, pendant près de 30 ans, on avait abattu des arbres pour permettre la construction des maisons et fournir en bois de chauffage les communautés grandissantes de la Basse-ville, de la Haute-Ville et de New Edinburgh.

Lorsqu’Ottawa a été choisie comme capitale du Canada en 1857, la ville a accueilli près de 2000 nouveaux résidents, y compris 350 fonctionnaires transférés de la ville de Québec en 1866 puisque la construction des édifices de parlement était, presque terminée. Ces riches résidents, dont des hommes d’État, des professionnels, des hommes d’affaires et des fonctionnaires, ont fait construire les belles maisons pour lesquelles la Côte-de-Sable est désormais reconnue.
Bien que la plupart des communautés d’Ottawa étaient divisées selon l’ethnie, la religion et la langue, Côte-de-Sable était composée d’une population diversifiées, unie seulement par sa richesse. Avec l’arrivée de nombreux nouveaux résidents fortunés, les domaines des principaux propriétaires fonciers, Louis Besserer et le lieutenant-colonel John By, y ont été aménagés. On a élargi les lots au nord de l’avenue Laurier, leur donnant une taille plus grande que les lots au sud, créant très peu de rues transversales sur l’avenue Laurier entre King Edward et la rue Charlotte.
Le caractère de Côte-de-Sable s’est modifié au 20e siècle, le quartier se dotant peu d’immeubles résidentiels et d’autres habitations à logements multiples. De nombreux manoirs sont devenus des ambassades, ou ont été transformés en habitations multifamiliales. Cependant, le travail effectué par l’association communautaire Action Côte-de-Sable et la désignation de cinq districts du patrimoine ont permis d’assurer que soit préservé le caractère historique de Côte-de-Sable.
Aujourd’hui, certains diront que Côte-de-Sable est une communauté composée d’extrêmes. D’un côté, vous y trouvez des ambassades élégantes et de majestueux manoirs ; de l’autre, vous y trouvez des habitations d’étudiants et des maisons de chambres. Et même si c’est l’une de plus vieilles communautés de la ville d’Ottawa, la Côte-de-Sable abrite certains des résidents les plus jeunes et les plus passagers de la ville, à savoir, des milliers d’étudiants de l’Université d’Ottawa.

En plus de Sir Wilfrid Laurier et Mackenzie King, un certain nombre de  personnalités politiques ont trouvé la Côte-de-Sable un lieu agréable à vivre. : Le premier ministre du Canada, Sir John A. Macdonald et son épouse, Agnès, ont vécu dans trois maisons différentes à la Côte-de-Sable, la seule qui survit étant l’impressionnante maison en pierre connue sous le nom de Stadacona Hall, sur l’avenue Laurier, près de la Maison Laurier. Sir Charles Tupper, qui est devenu premier ministre en 1896, vivait à quelques rues de la Maison Laurier au début des années 1870. Sir Robert Borden, l’homme qui a battu Sir Wilfrid Lauer en 1911 et a dirigé le Canada pendant la Première Guerre mondiale, a vécu à la Côte-de-Sable comme l’a fait Lester B. Pearson qui possédait une maison gothique pittoresque juste au coin de la Maison Laurier. Pearson a servi comme Premier ministre de 1963 à 1986.

Peu de rues ont autant d’histoire et de politique canadienne que la rue Daly. L’auberge McGee prend son nom de John McGee qui vivait à l’origine ici. De la fin des années 1800 voici une liste de personnages qui ont vécu sur la rue Daly:
-3 premiers ministres
-greffier du Conseil privé
-avocat de John Whelan
-6 pères de la Confédération
-plusieurs juges de la Cour supérieure
-maires
-barons
-médecins
-lieutenants-gouverneurs
-un poète canadien majeur
-et la première Femme sénateur du Canada

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